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Cet antiviral qui se vendait plutôt mal, suscite à présent l’envie du monde entier, qui veut se le procurer à tout
prix.
Officiellement, les laboratoires Roche sont les fabricants du Tamiflu®, mais le médicament a été découvert par
Gilead Sciences Inc, qui a cédé à Roche les droits de le fabriquer et de le vendre et dont Donald Rumsfeld, qui
en fut Président de 1988 jusqu’en 2001, lorsqu’il devint ministre de la Défense, détient toujours plusieurs millions
de dollars d’actions.
Au moment où tous les gouvernements stockent ainsi des antiviraux et des millions de doses de vaccins, deux
études publiées par le Lancet viennent d’établir que ces traitements sont bien moins efficaces qu’on le croyait et
confirment la progression de la résistance aux médicaments ou vaccins antigrippaux. Aussi, rien ne permet de
prévoir la réelle efficacité du Tamiflu® en cas de pandémie.
Nombre de virologues ont manifesté leur inquiétude face aux phénomènes de résistance qui pourraient
apparaître lorsque l'antiviral sera utilisé par des centaines de millions de gens. Ainsi, le 28 juillet 2009, dans un
article paru dans le BMJ, plusieurs scientifiques du groupe Cochrane estimaient qu’il était temps d’étudier plus
sérieusement le bénéfice du Tamiflu® par rapport à ses dangers. « À ce stade de l’épidémie, les gens devraient
être prévenus de ne pas utiliser l’oseltamivir car la plupart courront tellement peu de risques par rapport au virus
que n’importe quel e réaction neuropsychiatrique dépasserait de loin tout avantage, et que son usage à grande
échelle hâterait le développement de la résistance du virus.
En revanche, on connaît les risques qu’il engendre, car la FDA a reçu plus de 1 800 rapports d’effets indésirables
dont la mort de 14 adolescents liés à des problèmes neuropsychiatriques et certains « troubles du comportement
et des hallucinations », ainsi que des convulsions et des paralysies comme le Syndrome de Guillain-Barré.
Le Times et le Daily Telegraph du 31 juillet 2009 signalaient que la moitié des enfants traités au Tamiflu
souffrait de nausées, douleurs d’estomac, diarrhées, vomissements, et qu’au moins 18 % avaient des
problèmes de sommeil, des cauchemars, et se sentaient incapables de se concentrer, d’avoir des
pensées claires
, ce qui pouvait être extrêmement gênant en périodes d’examens.
Comment ne pas admettre que les risques engendrés par cette substance pèsent très lourd dans la balance par
rapport aux 0,03 % de décès attribués au virus. Toutefois, avant qu’elles ne soient périmées, il faudra bien
utiliser les milliers de doses déjà stockées puisque « le vin étant tiré, il faut le boire ».

(ndrl: Le Journal Le Soir du 17 août 2009 nous apprenait JUSTEMENT que la date de péremption du
Tamiflu vient d'être prolongée de 2 ans supplémentaires passant de 5 à 7 ans.Pour que cette prolongation de
date de péremption puisse s'appliquer nous indique toutefois l'organisme suisse de contrôle des médicaments, il
faut qu'il y ait "épidémie et qu'une large utilisation du médicament ait été jugée nécessaire"! Grâce à cette
manoeuvre qui n'est pas sans nous rappeler celle de l'OMS qui réduisait les contre-indications de vaccination
contre la rougeole dans le Tiers Monde, les stocks de Tamiflu qui auraient été périmés en 2016 pourront encore
être utilisés 2 années après, de quoi laisser le champ libre à une prochaine pandémie fabriquée CAR, c'est couru
d'avance, si ce virus fabriqué n'induit pas une peur suffisamment grande dans la population au point de se jeter
sur le vaccin, on s'échinera à fabriquer un autre virus, plus méchant, afin que la vaccination massive et/ou forcée
se trouve cautionnée par une unanimité scientifique construite de toutes pièces.)

Osterholm
Le Docteur Michael T. Osterholm, directeur du « Centre de recherche sur les maladie infectieuses de l’Université
du Minnesota », admet que les tests existants pour confirmer le H1N1 sont empiriques et peu sûrs et affirme :
« de mauvaises mesures sont pires que pas de mesures du tout ». Ainsi l’OMS a décidé de supprimer les tests
qui de toutes façons ne permettent pas de déterminer scientifiquement qui est atteint du H1N1 et qui ne l’est pas

Source: http://quanthomme.free.fr/qhsuite/2009News/imagenews09/OsterholmSurTamiflu.pdf

Sheffield local medical committee

SHEFFIELD LOCAL MEDICAL COMMITTEE NEWSLETTER INDEX 2012 Activity Update: August to September 2012 Anticipatory Prescribing for End Of Life Care ATOS Healthcare: Request for Medical Information British Medical Association (BMA) Employment Services Calculating Quality Reporting Service (CQRS) Care Quality Commission (CQC) Consultations Care Quality Commission (CQC) Registration Care Q

Portico semanal 836 - linguistica 80

Responsable de la Sección: Pilar Aguirre LINGÜÍSTICA GENERAL 001 Acquaviva, P.: Lexical Plurals. A Morphosemantic Approach 2008 – xii + 295 pp. € 37,50 INDICE: Aims and assumptions — 1. A Typology of Lexical Plurals: Varieties of non-inflectional plurals — Plurals and morphological lexicality — The meaning of lexical plurality — 2. Four Case Studies: Italian irregul

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