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propos de l’Irak dans la page éditoriale du New York Times. Et pour cause: «Le base de données incontournable, mais qui nucléaire nord-coréen est aujourd’hui la fourmillement de bannières et de fenêtres H I G H - T E C H þ B I O T E C H þ I N T E R N E T
plus grande menace pour les Etats-Unis», pop-up, ensuite une exhaustivité qui nuit estime le premier quotidien américain.
souvent à la pertinence de la recherche. 3 APRÈS LES OGM, LES AGM
3 BANQUE EN LIGNE
3 EAU TOXIQUE
3 VIAGRA CONCURRENCÉ
3 COUCHES SOLUBLES
L’assureur Allianz devra compter 100
L’eau en bouteille vendue par la plupart Le groupe pharmaceutique américain Eli
L’entreprise japonaise de textile Unitika
millions d’euros en coûts de restructuration Lilly lance en Europe le Cialis, son
Ltd a inventé un nouveau type de résine
transgénique qui inaugure l’ère de l’animal
pour intégrer sa filiale de banque en ligne marché indien contient des pesticides
capable d’absorber l’eau. Fabriquée à génétiquement modifié (ou AGM) pour la
Advance Bank, dont il compte notamment
mortels, des doses pouvant aller
d’érection destiné à concurrencer le Viagra fermer les 60 centres de conseil financier.
de son rival américain Pfizer. Le produit est voie à la fabrication de couches pouvant l’OGM, dont la commercialisation pourrait comptes du premier trimestre 2003, précise disponibles à New Delhi, seule Evian ne contenait pas de résidus dangereux.
Finlande, en Allemagne et en Suède.
þ La so cié té lau san noise lance une ver sion amé lio rée de sa plate- forme d’en sei gne ment à dis tance e- teach con so lide les murs de son école vir tuelle Pe tite par sa taille, l’en tre prise créée en 1999 a at ti ré de grands grou pes comme Lancô me ou Real me dia dans sa clien tèle. L’e- lear ning se dé ve loppe
L’é cla te ment de la bulle spé - (EIVD) et trois com man di tai res a trou vé une jo lie for mule pour vente. Ou tre la con sul ta tion de au coup par coup en Suisse
n’em pê che pas les suc cess sto ries Il est extrêmement difficile de dresser un état des lieux du Sven Ring ger, ont l’i dée d’u ti li - télé-enseignement par internet en Suisse. La décrue boursière a mis fin à un effet de mode par lequel beaucoup d’entreprises s’étaient instituées expertes en la matière alors qu’elles ne faisaient que vendre par correspondance des cours gravés sur CD-ROM. Quelques pionniers en la matière, comme e-teach ou Infolearn, continuent toutefois de proposer de réelles solutions alors que des mastodontes dis ci pline émer gente de l’é co no - son nel suit ré gu liè re ment la for - de l’informatique, tels Cisco ou IBM, ont développé leurs propres mie du sa voir: l’e- lear ning, c’est- solutions. Du côté des administrations, le développement de à- dire l’en sei gne ment à dis tance l’e-learning se fait sur un rythme timide mais certain. Il existe encore très peu d’offres complètes, les formations disponibles étant très fragmentées et en général réservées aux disciplines qui tifs. Bien qu’elle ait été créée il y pouvaient déjà être enseignées par correspondance. En Suisse romande, quelques Hautes Ecoles spécialisées, comme l’Ecole velle mise à jour de son lo gi ciel.
d’ingénieurs de Sion, s’y essayent toutefois. Le projet le plus avancé teurs, elle a réus si à cap ter d’im - de gra ti fi ca tion est ré gu liè re - et le plus centralisé reste à ce jour celui du campus virtuel suisse (www.virtualcampus.ch), né d’une initiative de la Confédération. – son po ten tiel en ter mes d’ef fi ca - presse ou en core l’E tat de Vaud.
la no to rié té s’ac quiè rent à coup ci té et d’é co no mies d’é chelle BCV vou lait un ins tru ment pour de ré fé ren ces.
n’est pas une fin en soi. L’équipe ap pro che in ter net et en sei gne - comp te non seu le ment les ou tils grosse struc ture comme la BCV, cié té va con ti nuer à se dé ve lop - la for ma tion de ses em ployés au de quoi est ca pa ble e- teach. La fi - est is sue d’un pro jet ini tia li sé en ain si par ti ci pé à l’é la bo ra tion dé sor mais d’un site in ter net dé - tech no lo gie et l’in no va tion (CTI), dont le fi nan ce ment a été as su ré tout sur une mé tho do lo gie», se þ Sur une es ti ma tion de 35.000 gè nes, seuls 16.000 ont été iden ti fiés L ’ A C T I O N V E D E T T E D U J O U R Des gé né ti ciens ge ne vois dé mas quent Ú MICROSOFT (MSFT US)
Conformément à la tradition, la direction de Microsoft a fait preuve deprudence dans ses indications. Si le marché a amplement sanctionné l’absence de catalyseur pour l’activité à court terme, aucun élément desrésultats ne justifie une remise en cause d’un optimisme à moyen etlong terme. Plusieurs initiatives de diversification hors du marché des La com pa rai son avec le gé nome de la sou ris ré cem ment pu blié a été es sen tielle à cette dé cou verte. PCs laissent entrevoir des signes encourageants en termes de relais decroissance potentiels et le contrôle des coûts demeure des plus strict. Le groupe bénéficiant d’une visibilité supérieure à celle de ses pairs, la banque privée Edmond de Rothschild maintient sa recommandation d’achat sur le titre avec un objectif à douze mois réduit de 67 à 63 dollars, ceci afin de tenir compte de prévisions de croissance des dé chif frer leur si gni fi ca tion.
vol: ils ont déjà par ti ci pé au sé - né ti que mé di cale de l’U ni ver si - té de Ge nève ont an non cé avoir der nier en dé cem bre 2002 a d’ailleurs été ca pi tale à la dé - ti fiés. Les ré sul tats de l’étude, des bio- in for ma ti ciens de l’U ni - ont pour l’ins tant été as so ciés à Un bio lo giste du CHUV re çoit le Prix Pfizer
Biologiste à la Division des maladies infectieuses du CHUV depuis 1997 et maître d’enseignement et de recherche à la Faculté de médecine de vue scien ti fi que Pro cee dings of the l’Université de Lausanne depuis l’automne 2002, Thierry Roger, 38 ans, Na tio nal Aca demy of Scien ces of the fois qu’u ne étape ini tiale. «Il s’a - recevra le 7 février à Zurich le Prix Pfizer de recherche fondamentale. Ce Uni ted Sta tes of Ame ri ca le 4 fé - lo gi ques in ter na tio na les. Les gé - Prix récompense ses travaux sur les mécanismes de défense de l’organisme contre les infections à bactéries. Les travaux de Thierry Roger portent sur cette réaction inflammatoire. Ils y ont mis en évidence le rôle d’un détecteur de bactéries nouvellement identifié, le TLR4 et celui d’une veaux lo gi ciels d’a na lyse, les zo - cytokine, le MIF, découverte il y a 40 ans. – (comm. red.)

Source: http://www.e-teach.ch/pdf/Presse_Agefi_20030206.pdf

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